Bonne année! Bon je suis un peu tard, mais de retour pour un résumé économique mensuel après avoir pris une pause durant les fêtes. J'essaie les points de forme cette fois-ci!
Contexte général :
Les fluctuations des taux d'intérêt ont été des éléments majeurs sur les marchés depuis 2022, et ça continue de faire jaser en ayant une grande influence sur les marchés.
En janvier, les investisseurs semblent avoir escompté que les hausses de taux d'intérêt sont chose du passé, en espérant qu'ils ont raison!
En 2024, l'attention se porte sur le ralentissement de la croissance économique et la possibilité de réductions des taux d'intérêt.
Récession ou pas? Attérissage en douceur ou pas? Et oui, les mêmes questions se répètent! La récession la plus attendue et prévue de l'histoire semble vouloir ce faire attendre aux États-Unis. Du côté canadien, malgré les déclarations officiels, nous sommes déjà en récession à mon opinion, mais dans une version rarement (ou même jamais) vu. Pour les investissements, ça se traduit en opportunité, soyez sans crainte!
Implications sur les secteurs sensibles aux taux d'intérêt :
Certains secteurs comme les services publics, les services de communication et l'immobilier ont été particulièrement touchés par les variations des taux d'intérêt.
Les obligations reprennent en vigueur, surtout celles à duration plus grande. Le plus important, elles reprennent leur rôle traditionnel, soit la stabilité dans un portefeuille!
Perspectives pour les entreprises :
Les coûts d'emprunt plus élevés ont mis à mal les entreprises fortement endettées, mais une baisse des taux d'intérêt est attendue avec soulagement.
Malgré les baisses de taux à venir, les entreprises devront s'adapter à des taux plus élevés et revoir leurs stratégies de financement en conséquence.
On prévoit des réductions des taux d'intérêt à venir, ce qui pourrait être bénéfique pour certains secteurs. Les baisses pourraient ce matérialiser aussi tôt qu'au 2e trimestre au Canada pour certains, mais le consensus s'entends plutôt pour l'été. Un scénario de baisse aux États-Unis vers le début de l'été est aussi probable, bien qu'incertain.
Les secteurs des services de communication et de l'énergie renouvelable pourraient particulièrement en bénéficier à moyen terme.